Leurs corps qui dodelinent, synchrones et dépourvus, accrochés à la barre tiède et grasse du wagon.
Ils regardent leurs écrans et , sur les quais, perdus, se déplacent comme un banc de morts sans illusions.
Leurs corps qui dodelinent, synchrones et dépourvus, accrochés à la barre tiède et grasse du wagon.
Ils regardent leurs écrans et , sur les quais, perdus, se déplacent comme un banc de morts sans illusions.