Bah oui, à quoi serviraient les raies aux zozios sinon ?
Et puis ici je suis chez moi et je fais ce que je veux !
bon…
Il y a presque 20 ans, j’étais jeune et pimpant étudiant en photo au « 75 » (prononcez « septante cinq »), une école d’art multidisciplinaire de Woluwe St Lambert. En Belgique. Il se trouve que j’ai rencontré là bas une demoiselle, qui, outre le fait d’être charmante, possédait un Mamiya Press Super 23. Elle eu la gentillesse de me preter cette petite merveille de technique avec laquelle je fis mon dernier travail de fin d’étude, qui me valu d’être diplômé. (Voir les photos enbas de l’article). Et puis la vie qui nous traite comme des fétus de paille sur un océan tumultueux nous a séparés et je ne devais pas revoir cette amie et son Super 23 pendant 20 ans. Mais ! Grâce à Mark Zuckerberg – louons le – nous avons repris contact et au fil de la discussion je lui demandais si elle possédait toujours son Mamiya. Miracle ! Il dormait encore dans un carton, quelque part dans le tumulte de ses différentes vies… C’est ainsi que je lui ai demandé si elle consentirait à m’accorder le droit de garde pour une durée indeterminée, ce qu’elle accepta, pour le super 23… Et son petit frère nommé Universal ! Me voilà donc avec en main deux boitiers merveilleux, dont un avec lequel j’ai shooté il y a 20 ans ! Quasiment une relique… Pour preuve quelques photos de moi avec ce fameux boitier !
C’est quoi ce bonnet à poil que tu portais à l’époque?
hé oh ! on avait dit pas les affaires … attention hein ! J’ai des photos de toi y’a 10 ans si tu veux rigoler un peu 😉
Pour la petite histoire, ce sont des appareils qui ont fait la renommée du photographe Legrain à Tamines… il a shooté des centaines de mariés… le gars avait un petit pincement au coeur quand je les ai repris…