4 mains (feat. Bibop ) Tes désirs sont désordre – Tes envies sont en vie … Je ne peux en démordre – Je te veux assouvie. A ton corps je m’accorde, à ton âme je me plie. (si le coeur vous en dit, participez !! ) Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Articles similaires 4 Commentaires bibop sur 3 avril 2013 à 19 h 54 min Bon, alors, un peu plus « soft », je te propose: « A ton corps je m’accorde, à ton âme je me plie »… Ca te botte? Réponse marwal sur 4 avril 2013 à 8 h 11 min Aaaaaah voilà qui est mieux !! Merci bien ! Réponse marwal sur 2 avril 2013 à 20 h 45 min Ah oui carrément… Moi je voyais un truc plus … romantique… 😉 Mais peut être que je me fais vieux… Réponse bibop sur 2 avril 2013 à 16 h 34 min L’oreiller tu vas mordre, quand tu verras mon vit… (Ouh… cela devient chaud, ça, Apollinaire n’aurait pas mieux dit!) Réponse Poster le commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Site web Un peu de calcul mental ... × 1 = 9 Prévenez-moi de tous les nouveaux commentaires par e-mail. Prévenez-moi de tous les nouveaux articles par e-mail.
bibop sur 3 avril 2013 à 19 h 54 min Bon, alors, un peu plus « soft », je te propose: « A ton corps je m’accorde, à ton âme je me plie »… Ca te botte? Réponse
marwal sur 2 avril 2013 à 20 h 45 min Ah oui carrément… Moi je voyais un truc plus … romantique… 😉 Mais peut être que je me fais vieux… Réponse
bibop sur 2 avril 2013 à 16 h 34 min L’oreiller tu vas mordre, quand tu verras mon vit… (Ouh… cela devient chaud, ça, Apollinaire n’aurait pas mieux dit!) Réponse
Bon, alors, un peu plus « soft », je te propose:
« A ton corps je m’accorde, à ton âme je me plie »…
Ca te botte?
Aaaaaah voilà qui est mieux !! Merci bien !
Ah oui carrément… Moi je voyais un truc plus … romantique… 😉 Mais peut être que je me fais vieux…
L’oreiller tu vas mordre, quand tu verras mon vit… (Ouh… cela devient chaud, ça, Apollinaire n’aurait pas mieux dit!)