Richard Boulanger toi sur moi aussitôt la rue devint plus large les immeubles moins hauts je t’emmenais sur mes pieds tes pieds sur les miens j’avançais à reculons mais en confiance tu me dictais la direction à notre passage les gens s’écartaient un jeune homme...
Petit texte retrouvé, né d’une période noire et clairvoyante, sans doute un peu trop, mais j’y reviendrai… Nous n’avons fait que déplacer quelques pierres. Certaines, aujourd’hui, sont toujours à la même place et cela me rend fou. Nous...
Merci à ceux qui viennent regulièrement, merci à ceux qui passent de temps en temps, merci à ceux qui sont venus par hasard, presque 12.000 visites depuis la creation de ce blog ! Ça encourage ! Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle...
Il y a des endroits où on aime revenir, surtout quand ils n’ont pas changé, une chambre d’enfant, une rue, une ancienne ecole, cet album fait partie de ces lieux où j’aime revenir, meme si parfois il sent un peu le renfemé, si il est un peu vieillot,...
Te souviens tu du soir où le ciel est tombé ? Entrainant dans sa chute mon enfance et ma joie, Les murs qui protégeaient mon royaume et ses lois Pour ne laisser qu’un tas de cendres et de fumée Te souviens tu, témoin, de mes heures radieuses Comme elles...
En montant dans la ligne 6 je m’aperçois qu’on y sent encore la même odeur qu’il y a 30 ans, une sorte d’odeur chaude de pain grillé et de métal chaud, à l’époque où je prenais le métro pour la première fois, tenant la main de mon père,...
Si vous n’avez pas eu la curiosité d’aller fouiner dans les autres rubriques de ce blog, allez jeter un oeil, et deux oreilles (écoute au casque recommandée) dans la rubrique « à vos casques ». Il y a de tout, depuis les archives sonores de mes différentes...
(S.V.P lancez cette video avant de commencer à lire le texte ) C’est curieux, je suis un athée indécrottable, et pourtant je dois bien avouer aujourd’hui que rien ne me procure plus de plaisir auditif, rien ne me mets dans une transe...
Chers amis je ne peux m’empêcher de partager ici un poème encore chaud que vient de m’envoyer mon vieil ami Richard Boulanger. ...
Il y a toujours eu dans l’oeil de ce type ce petit scintillement, comme une larme ou une joie immense restée coincée sous ses paupières. Comme si il avait voulu la garder pour nous toute sa vie. Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle...