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Matin

Avec un couteau splendide
Aiguisé comme le sourire d’un enfant
Ouvrir ma poitrine haletante et t’offrir mes tripes en souriant.
Que veux tu de moi ?
Que puis je faire de plus ?
Tu peux m’observer entre les aiguilles qui tournent.
Soutenir mon regard jusqu’à ce que je me désintègre et, de poussières, me reconstruire encore.
Pour recommencer sans fin.

 

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